Psychanalye Aujourd'hui

Le blog de Brigitte Dusch psychanalyste historienne

Accompagner le désir d'être Soi
Le sujet humain est singulier, son histoire est unique, l'analyse lui permet de partir à sa rencontre et de tisser les liens, de prendre rendez-vous avec soi.

"J'accepte la grande aventure d'être moi". Simone de Beauvoir

Mon livre : "j'aime ma vie"

dimanche 30 août 2009

Equilibrium

Alors que j'écris et travaille plus spécifiquement sur les émotions, mon fils insiste pour que nous regardions "en famille" un film qu'il a récemment découvert et qui "si maman, je t'assure, il faut que tu le regardes, ça va t'interresser, et nous en parlerons après"
Rendez vous pris pour ce samedi soir....
Equilibrium... Science fiction, thriller...


Nous voici d'emblée en 2070 après l'ultime ravage de la X° guerre mondiale....
Des ruines et une voix off, qui nous explique qu'à présent, la paix est revenue, la guerre n'existe plus grâce à un Sauveur et une découverte qui procure le bonheur...
Nous arrivons en même temps que le héros à Libria, cité futuriste où règne ce bonheur...
A Libria, les émotions n'existent pas, n'existent plus. Plus personne ne ressent rien, plus rien, grâce à l'absorbtion multi quotidienne du fameux "miracle" le Prozium (....!!!)
Ca me rappelle curieusement un livre que mon fils m'a fait lire il y a quelques temps, "le Passeur"...
L'homme serait-il tant fasciné par les émotions et surtout par ce qu'elles génèrent.
Le postulat du film est clair, elles sont la source unique de conflits, de guerre, de chaos. Les supprimer éradiquent alors toutes formes de violence.
Ainsi, Libria, la cité où les citoyens ont acceptés de vivre ainsi, contrôlés par cette pilule du bonheur. Au dedans. Une sorte de cocon, curieux, étrange, aseptisé, où règne Père, sorte de Gourou, Sauveur, qui ne se montre pas, mais qui est. Craint, Ecouté....Le Père terrifiant.
Les "" parlent en son nom : "Père a dit, Père veut, Père exige.... ". Le bien de chacun.


Puis le reste, le dehors. Les autres, ceux qui ne sont pas dedans, ceux qui sont ailleurs que dans ce cocon. Ailleurs.
Hors de la cité, hors les murs...

"Les Enfers" où se terrent ceux qui ne veulent pas de cette vie là, qui ne prennent pas le prozium, qui vivent et ressentent, qui collectionnent les vestiges du passé, humbles morceaux de partition, livres, miroir, parfum, tissus, tout ce qui procure quelque chose, qui affecte, qui fait vibrer. Qui donne de l'émotion, des émotions, qui en appellent aux sens...
Ce sont les "méchants", ceux dont il faut se débarrasser, ceux qui représentent le danger, car ils remettent en cause l'ordre établi. Les Résistants.

Pour cela une police, ultra violente, dans ce monde sans violence qui fait respecter une loi arbitraire, qui intervient lorsqu'ils constatent une infraction, la non prise de drogue. Le prozium.
Monde transparent, où rien ne peut échapper à personne, à rien, où tout est sous contrôle, contrôlé, où tout le monde se contrôle, se dénonce. En bon citoyen... Citoyen de l'ordre.
Le délit d'émotion. Il est puni par la peine de mort. L'incinération après un procès sommaire.
Et l'histoire se déroule
L'histoire d'une rencontre, d'un désir de rencontre, d'un désir de Vie, d'En Vie...
Si ce film présente des scènes violentes, il n'en n'est pas moins didactique et propice à la réflexion, à l'interrogation.
Il ouvre la voie à de multiples pistes, de nombreuses lectures, pas si différentes les unes des autres, des interrogations terrifiantes aussi.
Fantasme de l'homme que de vouloir un avenir, un futur sans violence. Désir ?
Un prix à payer. Une frustration, un rien sans rien, il faut donner pour... Il faut se priver pour. Mais justement pour quoi ?
Castration.
Les cinq sens, qui font ce que nous sommes ?
Et cette notion de l'ordre, de contrôle, de perfection, de similitude ?
Un monde parfait ? Equilibré ? Equilibrium...

Une violence pour endiguer une autre forme de violence. Oui, les émotions, nous le savons peuvent déclencher des réactions violentes, elles sont l'essence de l'humanité.
Un monde sans violence est-il alors possible ? Et à quel prix ? Quel prix l'homme doit-il payer pour vivre sous l'emprise de la non emprise ?
Peut-on promettre un avenir, un futur inodore, incolore, sans saveur ?
Rêve ? Désir ? Fantasme ?

Volonté de par faire ? Parfaire pour le parfait ?
Encore une fois la perfection ne peut-être une fin en soi, sa définition ne peut qu'être singulière. Nul ne peut imposer sa représentation de la perfection, sa conception de la perception à autrui, à l'autre, aux autres. En faire un Autre !
Enfer ?



Merci Sacha de nous avoir mentionné ce film qui nous a permis de réfléchir aussi en famille merci à toi pour ta pertinence, tes remarques sensibles et intelligentes...Bonne route sur ta quête de la sagesse et de la compréhension...

samedi 29 août 2009

Emotions

Avec un s
Parler des émotions, dire les émotions...
C'est simple mais aussi compliqué, complexe, parfois on n'y arrive pas, on ne veut pas, on n'ose pas, c'est pas facile de dire, de les dire.. Mais c'est quoi ces émotions là ?
Que met-on derrière ce mot, ces trois syllabes ?
Un peu de tout, un peu de rien aussi.
Que se cache t-il alors ?
Le sujet est un être d'émotions, fait d'émotion, rempli d'émotions, diverses, contraires, qui se bousculent, qui arrivent, qui se remplacent, qui....
Les émotions font partie de chacun, s'apprennent, se travaillent, se transmettent, se lisent, se disent, s'éprouvent..
Le chagrin, la tristesse, la joie, la peur, la stupeur,
On éprouve, c'est comme ça, on est fait de ça, de tout ça, succéssivement.
Parfois ça déborde

On déborde d'émotions, d'émotion, ou alors elles envahissent, prennent possession de l'être, tout entier, le dépasse, le dévore, il se dit "plus maitre de lui même, de ses émotions" qu'il ne contrôle plus
Ce qui suppose une prise de conscience, une sorte d'insight, qui permet de dire de mettre des mots sur le ressenti, l'éprouvé. De pouvoir dire ça, j'éprouve, je ressens ça.
Avoir des émotions n'est pas pathologique, ne pas en avoir peut-l'être, en avoir trop peut le devenir.
Encore une question de mesure, de justesse, d'équilibre. Pas aussi simple que ça non plus, car il n'est pas toujours aisé de maîtriser, quoi qu'on en dise, les émotions qui arrivent parfois aussi rapidement qu'un tsunami !
Elles font partie de nous, de notre histoire, de notre vie, elles sont là, furtives parfois, ne faisant que passer, brièvement, ou submergent...
Dévastatrices

Nous éprouvons tous quelque chose, réagissons, avons des affects, des états d'âme...Nous nous comportons en fonction de nos émotions, ou celles ci arrivent en fonction de nos comportements ?
Une sorte de cercle, qui tourne en boucle...Ou ne tourne pas, comme une sorte de disque rayé.
Les émotions sont brèves. On peut les expliquer par de multiples concepts scientifiques, dire qu'elles sont les réponses comportementales et physiologiques brèves, intenses, qu'elles réfletent le vécu du sujet, ses réactions à un événement extérieur
Qu'elles sont un phénomène psychologique et une manifestation physiologique
Elles expriment en effet ce qui se passe au plus profond de nous mêmes, ce qui se passe, ce vécu subjectif et singulier, ellestraduisent..
Ainsi elles montrent, elles permettent au sujet de montrer, de montrer, dire à l'autre, lui montrent à voir que....
Car les émotions se voient, se lisent sur le visage, sont en quelque sorte directement observables. Il est difficile de masquer, cacher ses émotions, certains signes trahissent, malgré tout...Une sorte de langage du corps, à déchiffrer...
Mais elles sont brèves, intenses, quelques secondes seulement. C'est ce qui se passent quand nous observons un tableau, écoutons une musique, lisons un poème...
Il se passe quelque chose qu'il nous est parfois difficile à dire, à traduire, mais nous le sentons, physiquement, le coeur bat plus vite, la chaleur ou le froid nous font frissonner, les larmes montent aux yeux, un sourire se dessine...Le corps vibre, est en alerte.
Le corps parle.

On les confond parfois avec les sentiments, les humeurs, qui persistent, qui elles sont là...
Mettre des mots sur les émotions, savoir les nommer, ce n'est pas aussi simple que ça...
Pourtant !
"J'ai la maladie des émotions", me dit un jour une patiente qui disait "ressentir tout, trop.."
"Hypersensible". La sensibilité ? Est-ce alors une question d'émotions ? Celles ci seraient alors propres à chacun de nous ?
Une ou des émotions singulières ?
Quid alors de l'insensibilité ? Une anesthèsie des émotions, un endormissement ?
"Je ne ressens rien, pas grand chose, je n'éprouve rien...."
Il est toujours question de senti, ressenti, éprouvé... De quelque choses qui se passe à l'intérieur, consciemment, inconsciemment, quelque chose qui monte, remonte, ou pas, et que le sujet sent, palpe presque, agréable ou désagréable, mais ce quelque chose là, fait que ça bouge, ou pas
Fait que le sujet vit, tremble, exprime, partage, ou pas...
Partage... Avec. Ou non.

mercredi 26 août 2009

Image 2

"Trop !"
Et elle joint le geste à la parole, désignant avec mépris cette peau en trop, cette chair qui lui coûte cher, cher....
Elle aimerait bien s'en défaire, de cette chair là, cette masse qu'elle dit informe, lourde, qui la géne
Cette masse qu'elle voit dans la glace, que lui renvoit le miroir
"Rien ne me va, rien ne va"
Rien...
"Si j'avais moins....Je pourrai....Je serai..."
Moins, soustraire, ôter le trop
Une simple opération arithmètique, pour rétablir un équilibre, une soit disant norme, pour rendre presque parfait....Un corps
Car c'est bien d'un corps qu'il s'agit
D'un corps de femme
D'une femme qui ne veut pas de ce corps là,
D'une femme qui pourtant se veut une femme
Mais pas avec ce "trop", ce "plein" cette "masse", cette "chair"...
Et de gommer avec des crèmes, amincir, masser, malaxer, cette chair là, sur les cuisses, le ventre, les fesses, les hanches, et de frotter, de faire rougir, pour gommer, effacer.. Retirer
Et de mesurer l'effet de ces massages, de vérifier leur efficacité...
Et de réduire un peu l'alimentation, plus de sucres, de chocolat, de "ce qui pourrait encore nourrir tout ça"...
De boire, de l'eau, du thé, des tisanes, "pour éliminer tout ça"
Pourtant, "les autres disent que je me fais des idées... "
Des idées ?
"Je n'ose même plus essayer ces petits hauts, c'est beau, mais sur moi, ça ne ressemble plus à rien, on ne voit que mes seins, ça déborde de partout... "
On ne voit que...
Elle ne voit que...
"Tout ce qui est beau, ça devient moche sur moi... Je rends tout moche, je suis moche, tout ça c'est moche...!"
Soupirs !
Rondeurs ? Pas vraiment, des formes de femmes, ni plus ni moins
Mais elle n'en veut pas de ces formes là : "C'est trop"

"Comment vous voyez vous ?"
"Grosse énorme... " Et de désigner, et de mimer des formes qui n'existent pas, pas comme ça, pas autant....
"Vous souhaiteriez être comment ?"
"Mais sans tout ça" Et de désigner encore ces formes là, ces formes qu'elle voit di formes...
"Je ne supporte pas... Tout ça !"
"Depuis quand vous ne supportez pas tout ça ?"
Silence.....

mardi 25 août 2009

Image

Elle n'aime pas son image, celle que la glace lui renvoit
Elle n'aime pas ces formes, ses formes, cette mise en forme
Elle n'aime pas, mais ne voit que ça, ne voient qu'elles
Ces formes, qui dérangent, ces courbes, ces "trop plein" comme elle dit, ce trop qui vraiment est trop, est en trop
Elle n'aime pas !
Difforme, en forme, des formes qui déforment...
A la voir, à la regarder, rien ne semble en trop....De trop !
Lui dire ne sert à rien, ce que l'autre voit ne lui importe pas, seul ce qu'elle croit que l'autre voit est important
Elle est persuadée que l'autre, les autres, ne voient que ça, ces formes, ses formes à elle qui la déforme, qui sont en trop, qui font que....
Du ventre, des fesses, des hanches, des seins
Trop, en trop....
Elle n'alterne pas vraiment les régimes, le sport, les plantes ou autres tentatives....Elle essaient parfois, sans grand résultat
"Elles reviennent encore, cela ne sert à rien que je m'affame...Mais je voudrai tellement les gommer, les effacer, les zapper, les retirer, elles sont là, me narguent...Sans elle, je serai acceptable, présentable...Jolie..."
Alors elle cache, se drape dans des vétements un peu larges, pas trop, mais qui gomment, effacent, estompent...Un peu, les formes...
Non que ce soit obcessionnel, mais c'est là, quand même...
"Ca me ruine la vie, enfin un peu... Cette image de moi dans la glace....Rien ne me va... Ca ressort de partout...."
Pourtant, rien de tout cela n'est réel, vrai, pour l'autre....Les autres...
Mais ce regard là ne lui importe pas, ce n'est pas le reflet que lui renvoit le miroir, ce méchant miroir, ou les yeux qui scrutent inlassablement ce miroir qui refuse de lui dire non qu'elle est la plus belle, mais que ces formes là sont belles
Formes... Femme.. Féminité...Féminitude....
Femelle, maternité, mammifère, mamelle....
Des formes dont elle ne veut pas... Une ligne parfaite, droite, svelte, sans aspérité, lisse et nue
Nue ! Nudité....
La main ne glisse pas, mais ce heurte à ses formes, comme les yeux dans le miroir...
Elle a songé parfois à la chirurgie esthétique, mais se dit, dans des moments plus paisible que c'est sans doute un peu exagéré... Mais quand même
Elle ne supporte pas ce corps tout en forme parfois, quelque fois... Cela la plonge dans un état affligeant, elle pleure, cache encore davantage...
Se reprend, se dit alors que la seule solution est de vivre avec, mais ce vivre là, ne semble pas possible, pas vraiment...
Alors elle se regarde dans la glace, terrible miroir qui lui assène encore une vérité intenable, insoutenable à son regard à elle....Des formes, elle ne voit que ça, de face, de profil....Et elle rêve, gomme, aplatit...
Le rêve, la perfection, l'imaginé, le corps fantasmé, le corps rêvé, une sorte de Graal, inaccessible...
Elle n'ose en parler, se replie, se renferme, s'enferme...
Elle pense que personne ne peut comprendre, ne peut la comprendre, que comme le dit sa soeur "Elle se plaint d'aise"
Que tant d'autres, aimeraient, paient pour en avoir des formes... des formes qui font rêver, du moins le croient-elles, les font rêver, font rêver les hommes, font d'elles des femmes, des femmes en formes....
Mais elle, elle ne veut ni faire rêver les hommes, ni rêver d'être une femme, une femme, peut-être tout simplement

Elle ne veut pas de cette féminité là, de cette femmelleté là, de cette femmellitude là...
De tout ces formes là....

samedi 22 août 2009

Inessentiel

Faut-il l'opposer à l'essentiel ?
Et dans ce cas que signifie l'essentiel ?
De la nécessité de l'essentiel ?
Ou de l'inessentiel.... ?
L'essence, la nature intime d'une chose, d'un objet, d'un arbre, d'une fleur...L'essence essentielle, partie précieuse, magique presque, essentielle...
L'essence d'un sujet, la réalité permanente d'un être qui évolue, se modifie, grandit, se grandit...Essence et substance.
Le qu'est ce que c'est ?
L'essentiel, qu'il faut avoir, gardé, appris, transmis....
Essentiellement.

Inessentiel en serait-il alors l'opposé, le non permanent, ce qui ne reste pas, ce qui n'importe pas, ce qui finalement n'existe peut-être pas ?
Inessentiel au monde, à la vie, au quotidien de celle ci...
Le non essentiel, ce dont on peut se passer, mais qui est cependant, puisqu'on peut le nommer, mais qui pourrait ne pas être

Mais qui est ?
Alors pourquoi ? Et quid de cet inessentiel
Que ou qui nomme t-on ainsi
Quand et comment décide t-on de l'inessentialité d'une chose, d'un objet, d'un sujet ?
L'inessentialité est elle singulière ? Quelle singularité ?
L'opposition à l'essentiel relèguerait cette notion à ce qui ne l'est pas, et seulement à ce qui n'est pas l'essence, le plus important, le vital en quelques sortes. Parlerait-on alors du superflu ?
Réduire l'innessentiel au superflu, au trop, au "en trop" à ce qui n'est pas vraiment nécessaire ?
Vaste débat que celui là, alors que le sujet est plongé dans un univers de superflu, d'innessentiel, ou l'essentiel, n'est plus, n'est plus assez...
Encore... Encore serait donc le sésame de l'inessentiel, ce "toujours plus" qui illusionne celui qui le posséde.
Parce que l'essentiel ne suffirait pas, ne serait pas "assez", le sujet croit qu'en s'entourant de plus, d'encore un peu plus, il sera, à défauf d'être ou d'avoir été.
Sera, un futur, non essentiel, alors que l'ici et maintenant, lui ferait pleinement apprécier l'essentiel, ce qui est à portée de sa main, de son coeur, de son âme
Courir toujours après, plus vite, plus rapidement, pour atteindre, l'innateignable, mais qui reste de l'ordre du rêve, d'une inessentielleté qui devient pourtant vitale
Il ne faut cependant pas croire, tout ce qu'on raconte, dans les journaux, les magazines, les livres, à la télévision. Le monde capitaliste, nous laisse à penser, que ce qui n'est pas, il peut nous le procurer, une sorte de loi du marché, faussée dés le départ, mais qui nous illusionne
Posséder devient alors la clé. Avoir et non être, avoir au détriment de l'être, un être qui a, qui posséde... Non plus l'essentiel, le fondamental, l'important, l'essence même qui fait de lui un sujet singulier, cette part, toute infime mais tellement précieuse qui fait que le sujet est. EST.

Alea jacta est !
Il faut avoir et non être. Avoir permet d'être, ou du moins de faire semblant d'oublier qui on est pour un instant, car cet être là, ne plait pas, ne nous plait pas.
Le recouvrir d'oripeau, de biens de consommation, encore et encore... L'en recouvrir jusqu'à plus soif, jusqu'à la nausée... Au trop plein qui déborde, qui n'a plus de cadres, de limites...
Superflu, trop pour le pas assez, le jamais parfait, le toujours encore un peu....
L'inessentiel ferait alors t-il perdre l'essentiel ?
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Ainsi toute ressemblance, similitude serait donc purement fortuite.

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