Psychanalye Aujourd'hui

Le blog de Brigitte Dusch psychanalyste historienne

Accompagner le désir d'être Soi
Le sujet humain est singulier, son histoire est unique, l'analyse lui permet de partir à sa rencontre et de tisser les liens, de prendre rendez-vous avec soi.

"J'accepte la grande aventure d'être moi". Simone de Beauvoir

Mon livre : "j'aime ma vie"

mardi 27 septembre 2011

Symptômes, fantômes

Elle ne devait pas avoir la trentaine, pas encore.
Mais elle était lasse déjà, de son travail, de la vie, de tout
Elle cherchait à tout prix un moyen d'y échapper, au travail, la famille, à tout...
Elle venait d'être hospitalisée plusieurs jours pour des malaises, des mal êtres, qui semblaient selon les médecins... Fonctionnels !
Elle avait exigé des examens compliqués, douloureux, intrusifs, précis, à la pointe de la technologie, qui devraient, qui devaient objectiver quelque chose, mettre un nom sur une maladie, une pathologie..
Mettre un nom sur sa souffrance, sur son mal de vivre !
Elle avait consulté encore, et encore ! Encore !
Tous ces examens, ces consultations avaient mis un non sur sa souffrance !
Ainsi, elle était là...
Elle était là, devant moi, sans aucune envie de me voir !
Nous ne nous étions pas choisies. Elle surtout !
Mais il lui fallait passer par moi ! Comme c'est parfois le cas, à l'hôpital quand c'est "fonctionnel"
Nous ne nous étions pas choisies, elle n'avait pas demandé à être là,
Elle était en colère....

"Je suis malade vous savez, très malade me lance -t-elle d'emblée, ces imbéciles ne trouvent rien...."
Elle aurait aimé qu'ils trouvent au moins un peu quelque chose, cela l'aurait rassuré, lui aurait permis de mettre des mots sur ces maux
Car elle souffre, elle a mal, des nausées, les membres qui tremblent, les sueurs, et puis ce coeur qui fait mal, qui serre à l'étouffer, à la faire mourir
Ses jambes qui se dérobent, ne la portent plus, la lâchent..
Elle est en arrêt maladie. Cela fait plusieurs mois ! Elle se fit qu'il va falloir reprendre le chemin du travail, qui ne lui plait pas, qui la dégoute, lui donne la nausée, mais qu'il va falloir y retourner pour ne pas perdre son salaire...
A moins que !
A moins qu'une pathologie soit décelée, une grave sinon, elle n'aura droit à rien
Il lui faut être malade, sinon, elle devra travailler, pour ne pas être pauvre !
Malade sans la misère.
Elle connait par coeur la liste des pathologies invalidantes, ouvrant droit à des congés longue maladie, longue durée.
Elle cherche, à regarder sur le net et pense que plusieurs symptômes correspondent !
Elle n'a pas choisi d'être là, dans ce bureau, de voir une femme qui ne lui plait pas et qui est là, dit-elle "pour ne voir que des fous"
"Parce que je suis malade, vous comprenez, je ne suis pas folle"
La folie n'est pas une maladie ?
Elle est d'abord agressive, presque insolente....
Elle parle néanmoins tout le temps, se vide, ne s'arréte pas, elle respire à peine.
Elle tente de me mettre en colère.
Ses yeux ne se fixent sur rien, mais fuient mon regard, elle cherche désespérement à accrocher quelque chose, à défaut de quelqu'un...
Les médecins voudraient qu'elle sorte ! Elle se plaint encore et revient, ré hospitalisée pour autre chose....
Perte de mémoire, troubles de l'équilibre, perte de la vue...
Malgré tout, les examens se multiplient.. 'si on passait à côté de quelque chose"
On ne sait jamais... Passer à côté..
Confier aux machines sophistiquées le soin de montrer ce que cette jeune femme s'évertue à montrer à voir !
Comment pourtant ne pas entrendre ces symptômes, ces douleurs et ces souffrances qu'elle nous lance en pâture, nous suppliant d'en faire quelque chose, de mettre, à nous, "sachant" soit disant, d'inscrire un mot savant sur tout ça !
Puis, peu à peu, elle passe à une attitude un peu plus compliante, séductrice, un peu.
Elle a lu aussi que la folie aussi pouvait être une maladie, et qu'elle ouvrait à des droits en matière d'indemnités. Elle me le dit lors d'un entretien.
Puis peu à peu, elle devient plus calme, parle de son travail, qu'elle n'aime pas..
je me souviens l'avoir croisée, parfois, nourrie de série américaine elle courait partout, un café et un petit déjeuner à la main, jouant la femme pressée, la working girl comme elle dit !
Elle se "la jouait.". Mais ce jeu là, n'a pas suffit à lui faire oublier la médiocrité de sa tâche, car c'est ça.... Elle le dit, le souligne, "un job de merde"
Pourtant elle a fait "des études"
-"Vous étes jeune, vous pouvez peut-être envisager un changement d'orientation.. Quand vous irez mieux !"
Elle me regarde !
Cela semble presque irréel ! Comme si elle n'y avait jamais pensé...Jamais !
Irréel ! La réalité c'est pour elle cet arrêt de plus longue durée qui lui permettrait de fuir la réalité du quotidien, au travail... Surtout
Pourtant chez elle, elle ne fait rien.
Elle raconte "la petite vie tranquille" qui est la sienne suite aux nombreux arrêts maladie. La peur d'un contrôle par la médecine du travail, la peur de devoir retourner là bas.
Elle n'arrive pas à dire vraiment pourquoi. Tout la "gonfle" les gens, les collègues, le travail, ça ne l'amuse pas, ça la fatigue elle en a marre !
Elle pense à la retraite, alors comme c'est loin, il reste l'arrêt maladie
Arrêt de la vie. Arrêt sur la vie...
Une sorte de finitude immédiate, qui la met à l'abri pour un temps, quelques mois, quelques années...
Pour laisser venir..
Mais venir quoi ?
Ad venir ?
Elle n'envisage rien... Rien.
Dépression ? Non ! a dit l'expert psychiatre !
Alors qu'est ce qui se cache derrière ce refus, derrière cette lassitude ? Derrière cette maladie, ces douleurs, vertiges, malaises, montrés à voir.... Donnés à voir à nous spectateurs.
Mise en échec de l'ordre, du pouvoir médical, de la science qui n'a pas de réponse à donner, à poser, pas d'ordonnance....
Personne n'ose.. Dire... Alors !
Elle est là... Maintenant, ni agressive, ni sur la défensive, encore un peu séductrice...
Elle est là, elle ne m'a pas choisie, nous ne nous sommes pas choisies..
Elle est là...
Elle pourrait ne pas venir, ne plus venir... C'est à elle de décider maintenant.
Elle sait que je ne prescris rien, ni d'examens, ni d'arrêt maladie.
Elle est là....
Elle parle, pleure, elle ne parle plus de son travail, de ces gens, de ce qui la gonfle, des arrêts maladies...
Elle parle de la petite fille...



mardi 20 septembre 2011

Interminable deuil

"Le deuil, ça prend du temps... (...) Si longtemps que ça ?"

Interminable, terminable, tout à une fin, la fin du deuil, la fin....

Y aurait-il un temps dévolu, comme dans ce temps pas si lointain que ça où les convenances exigeaient de ceux qui restent une attitude de circonstance.
Des artifices montrés à voir à ceux qui sont encore, que la peine est là, qu'elle doit s'afficher et que le mort doit être respecté !
Pendant un certain temps, un temps imparti... Un temps de deuil, où certaines choses ne se font pas, ne se font plus
Attendre la fin du deuil pour reprendre le cours de la vie
Comme avant, comme si rien n'avait changé...
Malgré la perte, l'absence....

Disparition..
Montrer à voir à l'autre...Pendant un peu de temps, de ce temps là, pour le mort, du temps que lui donne encore les vivants.

Mais ?
Au fond du coeur, le deuil parfois n'est plus à faire, car fait depuis longtemps du temps du vivant, ou au contraire ne peut se faire...
Ne peut se faire !
L'impossible deuil au moins pour l'instant, même après toute ces années, comme si vivre sans l'autre, sans lui, sans elle, n'avait pas de sens. Comme si la vie avait perdu tout son sens
Vivre à présent pour qui ? Pour quoi ?
l'impossible oubli qu'il ne faut cependant plus montrer à voir...
Car le temps est dépassé, maintenant et qu'il n'est plus supportable pour l'autre de voir cette dame en noir !

Le deuil indécent car il est temps maintenant de tourner la page ! Le regard douloureux, rempli de compassion de celui qui ne comprend pas pourquoi depuis tout ce temps, l'esprit du mort rode encore dans la tête des vivants
Pourquoi ce fantôme ? Pourquoi s'acharner à ne pas le  laisser partir, enfin, pour qu'il trouve la paix...
Eternelle
Et le vivant d'être coupable de ne pas oublier, de ne pas laisser soit disant l'âme s'en aller..
Et le vivant de souffrir !
Pourtant !
Il ne retient rien, le vivant, il n'empêche rien, il ne peut tout simplement pas vivre sans....
Il garde sa peine bien vivante à fleur de peau, il ne peut faire taire sa douleur, retenir ses larmes...
L'absence est venue,, mais la présence hante les murs, l'écho de la voix du disparu souffle encore quelques mots à l'oreille du vivant, hagard, perdu, lui aussi et qui ne sait plus vraiment ce qu'il en est !
Il reste comme figé dans un passé présent et sans avenir.
Il ne peut tout simplement plus aller de l'avant.
Mélancolie du deuil.. qui devient pathologique

Il faut soigner ce deuil intolérable pour les vivants..
Il faut retrouver le goût de la vie et aller de l'avant....
Ne pas se tourner vers l'arrière... Avancer...Seul, sur un chemin pavé de solitude et de douleur
Il faut, cela semble simple, il suffit de vouloir !!!!!

L'impossible absence de la terrible perte.... Tous jours..

"Cela fait si longtemps, que j'en oublie les contours du visage, le son de la voix... "
Souffrance que cet oubli là, où on  se demande à quoi ressemblait alors cet autre, cet autre chéri, aimé.
Malgré les photos, on n'y arrive pas, comme si la présence devenait impalpable, presque irréelle, im matérielle....
Comme si l'autre, fantôme disparaissait dans la brume de l'oubli, les ténèbres de la mélancolie
Et cette voix, qu'on entend pourtant à l'intérieur....Ne résonne plus du même timbre...
S'éloigne, s'efface !
Passager du navire qui regarde le quai, qui le voit de plus en plus petit, de plus en plus flou, puis que ne voit plus rien..

Terrible deuil que celui là !
Cette présence qu'on cherche à retenir, puis ce semblant de présence, ce souvenir de présence, ce parfum, ce son, cette pause, ce sourire, cette manière de relever ses cheveux, de tenir un livre, de nouer sa cravate...

Cette présence qui colle et qui tient chaud, car elle seule permet de vivre et de tenir, à présent tout doucement s'enfuit, se dissipe
La peur du plus rien, la peur de l'oubli qui jusqu'ici impossible vient alors avec arrogance se substituer à....
Comment faire ? Comment ne pas oublier de ne pas oublier ?
Comme si cette esquisse qui s'évanouit dans le brouillard marquait la fin...La fin de quoi ? La fin de qui  ?

lundi 19 septembre 2011

Cora Vaucaire


Elle vient de nous quitter....

Elle restera à jamais l'interprète inoubliable des plus grands
Renoir, Prévert, Aragon..
Adieu Dame Blanche de Saint Germain des Prés !

mercredi 14 septembre 2011

Souvenirs

Souvenirs !
Mémoire, souvenirs, devoirs de mémoire, se remémorer, ne pas oublier...
L'oubli !
l'impossible oubli parfois, on aimerait tant ne pas se souvenir, mais...
L'impossible souvenir aussi, parfois, on aimerait tant se souvenir
Mémoire, une mémoire qui joue des tours, trois petits tours et puis.... ?
Une bonne mémoire, trouble de la mémoire, la mémoire trouble qui trouble
Tourbillon, souvenir, mémoire qui flanche
Et la mémoire qui se joue, qui joue avec le vrai, le faux, le rêve, le réel, l'imaginaire, l'imaginé, le désiré.
Je ne me souviens plus très bien..
Mémoire quand tu nous tiens ! Ou quand tu ne nous tiens pas
Quand tu ne tiens ! Quand tu ne tient plus...
Mémoire à court terme, à long terme, mémoire de travail, mémoire tampon..
Une longue liste de termes techniques et savants dont il faut aussi se souvenir...
Se souvenir
Puis on nous parle du devoir de mémoire, de cet impossible oubli, de cet obligatoire souvenir qui doit ! souvenir : devenu une injonction !
Il est interdit d'oublier !
Il faut ! Vous devez vous souvenir de...
Mémoire anniversaire, éphéméride de l'histoire, dates terribles, catastrophes et barbaries..
L'homme doit se souvenir...
On, ce on, pronom indéfini ne dit pas vraiment pourquoi, même si il le suggére.... mais si il est implicite
Oublier. On aimerait parfois oublier, en finir une bonne fois pour toute avec tout ça, avec tout ce qu'on traine encore et encore, mauvais souvenirs, on voudrait jeter tout ça comme on vide ses armoires ! Jeter aux oubliettes... Ma    is !
Oubli impossible, qui colle à la peau, à la mémoire, et qui revient parfois à la surface quand on ne s'y attend pas, quand on ne s'y attend plus, car on ne l'entend plus...
On n'entend plus cette petite musique sourde qui dit que... On croyait pourtant en avoir fini...
Oubli... On sait que c'est là ! Un peu comme ce mot sur le bout de la langue, mais qui ne sort pas, on sait bien que... mais ça ne vient pas !
Oubli, mémoire qui joue des tours et se joue du sujet...
Oubli en abymes, en abime de l'âme, du corps et de l'esprit
Elle ne me reconnait pas, ne se souvient pas de moi, ne sait plus qu'elle existe
Il ne sait plus ce qu'il a fait, s'il a mangé, s'il a soif....
Malade de l'oubli....
"Aidez moi à oublier ! Aidez moi à me souvenir"
Cris de détresse dans la nuit ! SOS dans les ténébres de l'oubli...
Obscur, Continent inconnu, inexploré lui aussi, terrible et terrifiant, d'où "ça" ne revient pas
Ils sont là mais je ne m'en souviens pas pourquoi ?
Tapis dans un recoin au plus profond de l'inconscient ils sont là, à l'abri de l'insupportable, de ce qui n'est pas tenable....
A l'abri ? Cachés, tus, pour ne pas meurtrir l'âme
Faire des  bleus à l'âme.... :
Contusions multiples, inguérissables cicatrises plaies impansables....
je voudrai oublier
Je voudrai me souvenir
Et parfois ils reviennent comme le corps des noyés, désespérés, cinglants, arrogants, indécents, ils sont là et nous narguent
Ils sont là ! On ne peut les limoger, les congédiers, les renier, les refouler encore
Il faut en faire quelque chose ou pas !
les laisser là immondes et difformes, dans une sorte de torpeur, une sorte de coma, une sorte de cocon...
Débranche !
Mais on ne peut pas
Tuer le souvenir c'es mourir un petit peu, sauf que de la mort on ne se souvient pas...
Tuer le souvenir c'est s'amputer de la mémoire, tuer quelque chose de soi, se frustrer, castrer... Tuer un peu de ce qu'on savait, ce ce qu'on savait savoir, et qui....
Oublier. Se souvenir alors pour oublier ! Enfin et trouvez le repos, le chemin de la quiétude, pour vivre un peu, vivre un peu mieux.....
Alors parfois on pousse la porte  du psychanalyste...
Pour demander pourquoi ? Pour demander si souvenirs il y a vraiment... Puisqu'ils ne sont pas là, Pourront-ils revenir ? Quand ? Pourquoi ? Sont-ils oubliés pour toujours ?
Mais qu'est ce que toujours ?
Et s'ils reviennent ?
Pousser la porte de l'analyste, pour savoir pourquoi on ne se souvient pas , pourquoi on se souvient de trop ?
Peu, pas, trop, mais jamais comme il faut...
Demander ? A l'analyste ? Supposé savoir tout ça ?
Savoir ?
Ce savoir là oublié et remisé dans l'Inconscient...
Quid de l'inconscient
"Je n'ai pas de souvenirs, je ne me souviens de rien, ni de mon enfance, de rien"
C'est grâve ou pas ?
Demander à l'analyste ou au thérapeute pourquoi ? Lui demander de faire res surgir de l'inconnu ces fantômes du passé pour qu'ils viennent nous hanter ?
Ou pour leur tordre le cou. Enfin !
Mais supposé savoir quoi ? Qui ? Le sujet mieux que personne sait, sait pourquoi il ne sait pas et ne se souvient pas, il ne se souvient pas de ce qu'il sait, ou ne sait pas...
Souvenirs, faux souvenirs ?
Vérité ? Vérités ?
Qu'importe ? Ou pas ?
Etre certain ou non que cette vérité est la vérité, que ces souvenirs sont les bons, sont exacts au moindre détails prés
Mais comment savoir ?
Souvenirs fabriqués pour venir combler le manque, souvenirs ciments venant colmater l'angoisse ?
Allez savoir !

dimanche 11 septembre 2011

11 septembre

Une pensée furtive, fugace, presque indécise,
Lointaine mais précise, douloureuse et fébrile...

Pourquoi ce jour là ?
Une pensée pourtant, qui hante et qui frôle l'indécence
Aussi, je crois
Parler des morts, pour les vivants, ce n'est pas si facile !
Parler de la mort quand on vit encore....
Convoquer les morts au rendez vous de la mémoire

Les faire vivre encore pour encore mieux souffrir...
Souffrir de l'absence, du retour impossible !
 
Se dire, dire et écrire qu'il ne faut plus jamais
Plus jamais ça, plus jamais recommencer !
Encore et encore, cela fait bien des années...
Pourtant, encore et parfois
Souvent...
On dit ça, on dit qu'il faut se souvenir pour ne pas oublier ...
Ne pas répéter !

Mais encore la barbarie prend forme, se lève et se réveille
Tel un démon qui ne peut réprimer sa fièvre
Sa fièvre du mal
Sa soif de sang
Son désir...

Pour détruire....
Pourquoi ce jour là alors ?
Il restera lui aussi gravé dans les mémoires, les corps et les âmes
Des vivants, de ceux qui sont encore là, qui n'étaient pas là, de ceux qui ont échappés, de ceux qui sont revenus
De ceux qui accrochés encore aux remparts de l'enfer, qui pleurent les morts et rêvent qu'ils vont se réveiller
Mais nous ne dormons pas..
Gigantesque cicatrice jamais refermée, ouverte pour l'éternité, béance sanglante de l'humanité !
Alors je me hisse pour essayer de voir, essayer de croire qu'il n'existe pas, qu'il existe quelque chose d'autre que l'horreur, que le mal, que la douleur
Pourquoi ce jour là ? Pourquoi un jour ? Pourquoi ça ?

jeudi 8 septembre 2011

neurosciences

 Quelques mots à propos de la vidéo en lien précédemment..

Inquiétantes neurosciences ? Le cerveau, notre cerveau, le connaitre, le contrôler, le manipuler

Sciences, neurosciences au service du marketing... De la publicité... Manipuler ?

Jusqu'où peuvent-elles aller ? Jusqu'où l'homme peut il aller, veut-il aller.. Que veut-il en faire ? Et pour quoi faire ? Et pourquoi...
Science sans conscience peut-elle la ruine de l'âme ?

Neuromarketing, des citoyens sous influence 1/4

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Ce blog relate des bribes, des vies en respectant l'anonymat, ce l'éthique et la déontologie de ma fonction
Les événements, initiales, lieux, histoires... sont modifiés.

Il s'agit d'illustrer des situations, un concept, une problématique, un questionnement donnant lieu à une réflexion.
Ainsi toute ressemblance, similitude serait donc purement fortuite.

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